Passionnée de littérature jeunesse, dévoreuse de livres, jeune maman !

Candidate 6 Angelnight

Candidate N°6 du concours d’écriture
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Il est de ces hommes que l’on aime sans savoir
Des hommes que l’on aime sans vouloir
Il est de ceux la qui m’attirent, distants
Et qui câlins ne me plaisent qu’un temps

Homme si souvent attendrissant,
Que je voudrais appeler mon enfant
Et qui souvent me porte à bout de bras
Même quand il n’est pas près de moi

Fragile, la tristesse de ses yeux
me le rend encore plus précieux
Pourtant c’est chaque éclat de rire
Qui fait battre mon coeur et qui me fait grandir

Une rencontre improbable
Pour un amour immuable
Qui porte les traces d’un souvenir
Qui continue de faire souffrir

Le temps passe, les jours défilent
Combien d’année à vivre sur un fil
Et puis un jour par hasard ou envie
Au détour d’une gare, nous voilà réuni

Et des années plus tard
Oubliant nos cauchemars
Collés dans notre canapé
Nous faisons des projets

Rêves communs ou familiers
Bleu turquoise et plus foncé
                                                               
Une penderie, même une maison
                                                                
Où pourrait courir nos enfants…

Angelnight
et bientot ici

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Candidat 5 Ryshar

Candidat N°5 du concours d’écriture
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Game over

J’arpente pantois les trottoirs, mes semelles une fois sur deux rapent le bitume qu’on dirait verglacé. Pas loin, sur la grande place les gens heureux s’oublient au marcher de noël c’est dimanche!
c’est l’hiver! j’avance vivement sous les lueurs faiblardes des réverbères, elles ricanent en demi-teinte, les mains dans les poches elles m’agacent, complotent avec les façades blafardes et
bavardes des immeubles à trois étages c’est dimanche c’est l’hiver… L’ironie et l’amertume freinent mes pas alertes et alertés, je marche, je m’enlise dans la neige boueuse, visage fermé seules
mes lèvres pincées tremblent. Dans ma rue c’est l’hiver c’est dimanche! Un peu dans l’ombre, le long des murs sombres m’aime pas dans la pénombre! J’avance… pour moi the game is over.

Ryshar

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Candidate 4 Edelwe

Candidate N°4 du concours d’écriture
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Des jours que cela dure. Ne verrons-nous donc jamais la fin du combat ? Les morts s’accumulent, mais l’ennemi ne semble pas vouloir reculer ; je dirais même qu’il gagne du terrain.
Pourquoi se mentir ? Les morts qui s’accumulent sont tous de notre côté. Comment avons-nous été entraînés dans cette horreur ? Tout a commencé si simplement… Nous voulions obtenir un
peu plus de territoire, de quoi ne pas subir la famine cet hiver… juste de quoi nourrir notre peuple … un sursis de vie… Nous n’avons rencontré que la mort et la désolation.. Comment en
est-on arrivé là ? Mes souvenirs se troublent. Je suis si affaibli. L’ennemi a mis la main sur notre dernière réserve et je n’ai plus mangé depuis des jours. Je sens que mon esprit
s’égare. Je sais que nous allons perdre. Plus rien n’arrêtera la progression de l’ennemi. Ses forces sont mille fois supérieure aux nôtres. Il a même des machines de guerre. J’écris pour
laisser une trace, pour que l’ennemi ne travestisse pas notre Histoire. Pour qu’il ne viole pas notre mémoire. Je veux laisser une trace. Je dois me dépêcher avant qu’il ne vienne. Car IL
vient, je le sens.

Tout a commencé par l’intrusion d’une de nos troupes dans le territoire ennemi afin de chercher de la nourriture. Ils n’y ont rien trouvé, excepté un peu de cette chose blanche et fade dont
nous ne connaissons pas le nom. Durant les nuits suivantes, d’autres expéditions ont exploré les terres ennemies. Rien de nouveau n’a été découvert mais l’ennemi avait du se rendre compte de
notre présence car les pièges se sont multipliés . Cependant, grâce à l’ingéniosité de nos éclaireurs, le pire a pu être évité et seul l’un des nôtres a péri dans une embuscade. Le premier
cadavre d’une longue série. Cela s’est passé le premier soir après la pleine Lune. Il s’était avancé seul et sans protection pour tenter de découvrir les réserves de l’ennemi. Il n’a pas vu le
piège et le lourd bout de métal s’est violemment abattu sur lui, entamant sa chair et réduisant son dos en bouillie. Il est mort sur le coup. Du moins j’ose l’espérer. Nous n’avons même pas pu
ramener son cadavre. L’ennemi était trop prêt. Maintenant que la fin est proche, je comprends que c’est à ce moment que nous aurions du renoncer. Mais si un être peut abandonner, un peuple ne
revient jamais en arrière. Loin de reculer, nous avons décidé de multiplier les attaques et de changer de lieu d’action. Nous sommes descendus dans la cité même de l’ennemi, par un chemin
presque impraticable qui mettait nos muscles à rudes épreuves. Et c’est là, sur une plaine blanche et glacée comme la mort, dont la texture nous était inconnue que nous les avons trouvées… Les
réserves de l’ennemi ! Nous le tenions ! Peu à peu, insidieusement nous les avons vidées. La victoire semblait enfin de notre côté, quand les nôtres commencèrent à s’effondrer les uns
après les autres, victimes d’un mal étrange et incurable qui ressemblait à une faiblesse généralisée. Leurs muscles se contractaient sous l’effet des spasmes et de la douleur. Leurs yeux
terrifiés s’agitaient en tout sens, roulant dans leurs orbites comme des oiseaux fous ; puis, plus rien. Leur corps s’affaissaient et un peu de sang apparaissait au coin de leur bouche.
Leur agonie était abominable, mais le silence qui suivait leur dernier râle était pire encore. Notre peuple venait d’entendre le bruit de la mort. Le plus horrible était que nous ne comprenions
pas. Rien ne permettait de la prévoir. La mort frappait au hasard et l’ennemi semblait guider sa main. Il paraissait avoir trouvé une arme contre laquelle nous ne pouvions pas lutter. Beaucoup
des nôtres ne survécurent pas. Aujourd’hui encore, je me demande qu’elle fut la technique de l’ennemi.

Puis les choses empirèrent encore. IL trouva nos réserves de nourriture, pourtant cachées avec diligence, et les pilla devant nos yeux… et devant notre impuissance. Nous n’étions plus qu’une
poignée. Qu’aurions nous pu faire contre cette force écrasante ? L’hiver commença à s’installer et les rares survivants à mourir de faim. Nous n’avions même plus le courage de nous battre.
Nous nous terrions dans nos trous et attendions le printemps. Ne supportant plus cet état de fait, l’un des plus braves d’entre nous décida de tenter une dernière charge désespérée pour frapper
l’ennemi dans ses forces vives. Avec tout son courage, il s’élança vers l’ennemi, courant de toutes ses forces pour atteindre son objectif. Fascinés, nous le regardions franchir tous les
obstacles. Rien ne semblait pouvoir l’arrêter, quand le coup s’abattit. Il fut presque écrasé par le choc. Les cris de l’ennemi retentir, de plus en plus fort. Et sous nos yeux impuissants se
déroula le dernier combat.

Notre compagnon puisait dans ses dernières ressources pour échapper aux coups qui pleuvaient. Un instant, il sembla vouloir fuir. Mais soudain, après un dernier regard vers nous, dans un ultime
sursaut de vie, il s’élança sur l’ennemi et lui infligea une profonde blessure ; juste à ce moment, un coup plus violent que les autres l’abattit. Pour toujours. Notre désespoir fut total.
La traque de l’ennemi fut sans merci. Nous dûmes nous séparer pour ne pas constituer une proie facile. Un à un, je vis mes camarades se faire assassiner sous mes yeux. De mon clan, il ne reste
plus que moi. Je n’en ai plus pour longtemps. Si l’ennemi ne me trouve pas, la faim aura raison de moi. Le printemps ne reviendra plus. Je ne le verrai plus. J’entends les pas de
l’ennemi ! IL se dirige vers ici. Je vais mourir. Mais je sais qu’après moi d’autres clans de la même race que moi se lèverons et combattrons mieux que nous ne l’avons fait. Ils vaincront
l’ennemi et l’annihileront comme il a détruit mon peuple. Le bourreau suivra les traces de sa victime. Ils coucheront dans le même tombe. La roue tournera et mon peuple sera de nouveau un grand
peuple… Je l’entends qui vient. Il n’est plus temps de fuir. Puisse mon témoignage exciter la colère des autres clans contre l’ennemi. Vive le peuple des……………………………………………………………………………………………….

 

 

 

 

 

 

 

«Des souris, tu te rends compte, pendant des mois, des souris plein la maison. On ne savait plus comment faire. Elles nous réveillaient la nuit en trottant dans le grenier. Elles rongeaient les
papiers qui y étaient entreposés. Même les pièges n’y faisaient rien. Une seule s’est laissée prendre. Comme il n’y avait rien à manger dans cette pièce, elles sont descendues dans le cellier
et on commençait à voler des noisettes et des amandes posées sur le réfrigérateur afin de faire des réserves pour l’hiver. Finalement, on a du empoisonner du lait avec un produit provoquant une
hémorragie interne. On a aussi trouvé leurs réserves sous une planche. Il y en a même une qui a essayé de m’attaquer. J’ai du l’achever à coups de planche, mais elle a quand même réussi à me
mordre à la jambe. Deux points de suture. Jamais vu une bête avec une telle vitalité. Après celle-là, il y en a eu de moins en moins. J’ai quand même du exterminer les survivantes. C’est
curieux. J’ai eu l’impression que la dernière comprenait ce qui lui arrivait. J’ai presque failli l’épargner… mais tu sais, quand on en laisse une… Enfin, nous en avons terminer avec cette
histoire. »


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Candidate 3 Adolorata76

Candidate N°3 du concours d’écriture
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Perdre un ami au sens moral et non physique peut-etre très dur à vivre, à
gérer …
Il y a peu, et pourtant pour moi cela me paraît une éternité, j’ai perdu un ami …
J’ai perdu MON AMI …
Un ange aux ailes cassées tout comme moi qui avec le temps essaie de les réparer …
Mais bien difficile est le chemin de la guérison …
Cet ange savait tout de moi et savait que j’étais là pour lui …
Mais un moment d’inattention a suffit la chaîne a déraillée avant de se briser …
Voilà comment s’est finie cette belle amitiée qui pourtant était chère à mes yeux
Et me paraîssait … UNE AMITIEE VRAIE …

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