DJ pour les nuls

DJ pour les nuls,

de John Steventon
(adapté par Nicolas Dambre)

First Editions
442 pages
978-2754011983
Sorti le 30 avril 2009

 

 J’ai reçu ce livre dans le cadre de l’opération Masse Critique de 

Sur le papier ça me semblait une bonne idée,de demander ce livre…. sauf que voilà en réalité, ce n’est pas un livre qu’on lit comme ça, d’une traite…. C’est un livre dont on se sert quand on a besoin…. alors en parler là maintenant, oui bien sûr, puisque je m’y suis engagée, mais ça sera incomplet, je tenais à le préciser !

4ème de couverture :

“Que vous débutiez comme DJ ou que vous ayez déjà un peu de pratique, quel que soit votre style de musique, cet ouvrage vous dira tout ce que vous avez besoin de savoir sur l’art du DJ.

Du matériel à choisir (platines vinyles et CD, occasion ou neuf, analogique ou numérique, table de mixage, logiciels, casque et ampli) aux techniques les plus avancées de scratch, vous aurez en
main toutes les clés pour progresser, maîtriser le mix, créer vos propres sets et développer votre style, jusqu’à pouvoir animer des soirées et des nuits entières. La partie des Dix vous livrera
notamment les réponses à dix questions que vous n’avez jamais osé poser, les dix erreurs à éviter… ainsi qu’un top 10 des références qui ravira tous les mordus du mix !

John Steventon est un DJ britannique. Il a notamment créé le site web Recess.co.uk, qui regorge de conseils pour les apprentis DJ.

Nicolas Dambre est journaliste musical radio et presse écrite depuis une dizaine d’années. Collectionneur de disques de musiques électroniques et de hip-hop, il est également DJ.

Découvrez comment :
Choisir le matériel adapté
Dompter votre table de mixage
Maîtriser le mix au tempo et le scratch
Réaliser vos propres remixes
Vous produire en public
… et vous faire plaisir !

Le livre est structuré ainsi :
Première partie : Le kit du parfait Dj
C’est une description des terles du deejaying, des premiers pas,  du matériel… C’est la seule partie que j’ai lu complétement pour l’instant, et elle est vraiment intéressante, et correspond
à la fois aux novices et aux connaisseurs qui ne manqueront pas d’apprendre des tas des choses…

Deuxième partie : La jungle du matériel
Des explications tant sur le matériel que sur leur fonctionnement (bien le choisir et l’entretenir)

Troisième partie : Le mix
Des conseils sur la réalisation d’un mix (acquérir les bases, comprendre le rythme (ça me semble un peu dur à comprendre à l’écrit, mais les conseils sont très bien), et puis mixer (comme un pro,
avec des CD…)

Quatrième partie : Se faire connaitre et jouer en Public
Une partie qui intéressera à n’en pas douter la plupart des lecteurs…. mais pas moi!

Cinquième partie : La partie des Dix
Les 10 questions, les 10 erreurs, les 10 objets à ne jamais oublier… et encore quelques conseils… puis le top 10 des références : The partie à ne pas manquer!

En conclusion un livre intéressant pour tous ceux qui s’intéressent au dijing (ou deejaying) de près ou de loin (quand même pas de trop loin, 450 pages sans illustrations ou presque, ça laisse des
marques!
Un livre à mettre entre toutes les mains, et à offrir sans hésiter aux débutants…. Pour les Pro, dont je ne fais pas partie, ils ne manqueront pas d’apprendre des choses, mais je ne peux pas juger de toutes les infos… je vous laisse donc lire en complément la critique de 80s-records.

Merci aux editions First, c’est toujours un plaisir que cette célèbre collection jaune et noire “pour les nuls” (Serait ce que je fais souvent partie des nuls??! :)

La bicyclette rouge

La bicyclette rouge 

(Titre original : Palgan jajoenkoe)

de Kim Dong Hwa

(traduit du coréen par Kette Amoruso)

Éditions Paquet

bicyclette

Tome 1. Yahwari (2005).

Tome 2. Les roses trémières (2006).

Tome 3. Les mères (2006).
bicyclette

Tome 4 ..., et de nouveau le printemps
(2009)

La bicyclette rouge, c’est l’histoire simple de gens de la campagne coréenne, des paysans, pauvres mais attachants. Les jours passent et se ressemblent au fil des saisons, mais un jeune facteur
sait écouter leur peines et leur joies et trouver les mots… Des mots qui résonnent aussi en nous…
Cette série de manhwa (entre la BD et le manga) est tout simplement délicieuse… si on ne cherche que le calme de la campagne… les histoires sont agréables mais ne se suivent pas, ne se
finissent pas toujours… j’ai apprécié ce moment de paix pendant quelques histoires, mais j’ai préféré ensuite fractionné ma lecture en petit moment plaisir plutôt que de risquer de m’ennuyer…

C’est tout un exemple de cette vie paysanne coréenne, toute une philosophie de la vie… Souvent en lisant j’ai pensé à ces haïkus japonnais qui disent tant en si peu de mot… Là bas les
maisons ne sont pas appelées par le numéro, mais par leur particularité, leur poétique : “La maison jaune dans la verdure, La maison aux nombreux chiens, La maison où l’on se repose, La
maison la plus jolie sous le ciel étoilé
…”

Les dessins m’ont attirés, sur la couverture… avant de me repousser dans les premières pages… et puis finalement on s’habitue à ces traits tirés à l’extrême, en totale opposition avec ce
jeune facteur à l’air toujours un peu ébahi…

Kim Dong Hwa

est un auteur de manhwa coréen, très connu dans son pays, que beaucoup compare à Taniguchi. Il a réalisé tous les dessins à l’ordinateur.

“Un jour mon fils m’a offert un ordinateur avec l’argent qu’il avait gagné grâce à un petit boulot. J’étais tellement heureux comme un enfant qui aurait reçu en cadeau son premier crayon, que j’ai dessiné sur ce nouveau support toute la nuit : la montagne, le champ, les arbres, les fleurs sauvages, la bicyclette rouge et enfin le facteur…”

bicyclette

D’autres avis :
Gadins et bouts de ficelles
A livre ouvert
Sort de ta bulle

N’hésitez pas à me laisser un lien vers votre article !

Animal’z

Bande dessinée d’Enki Bilal publié chez Casterman
le 11 Mars 2009 .

Animal’z

L’histoire d’Animal’z est l’histoire d’une terre ravagée par des catastrophes climatiques qui portent un nom : le Coup de sang .
L’homme cherchant des moyens de survivre sur cette terre glacée et inhospitalière où l’eau potable est une richesse, il expérimente le croiseme

nt homme, animal.
Des hybrides sont nés et
la
BD commence ainsi.

Le style d’Enki Bilal tout en grandes images crayonnées sur papier gris est une merveille même si elles ont pour désavantage de racourcir considérablement la trame de l’histoire (faute de plus
de vignettes par album).

L’histoire méritant d’etre beaucoup plus developpé la suite est surment déjà en préparation (surtout connaissant Bilal).

Ma conclusion
Le but de cet article n’est pas de vous faire un resumé précis de la BD (vous l’aurez remarqué) mais juste de vous faire découvrir mon appréciation personnelle.
En bref : Une bonne lecture pour les fans de SF mais aussi pour les amateurs de belles
images (Pas comme une certaine petite herissonne :)