Il est de ces hommes que l’on aime sans savoir
Des hommes que l’on aime sans vouloir
Il est de ceux là qui m’attirent, distants
Et qui câlins ne me plaisent qu’un temps
Homme si souvent attendrissant,
Que je voudrais appeler mon enfant
Et qui souvent me porte à bout de bras
Même quand il n’est pas près de moi
Fragile, la tristesse de ses yeux
me le rend encore plus précieux
Pourtant c’est chaque éclat de rire
Qui fait battre mon c?ur et qui me fait grandir
Une rencontre improbable
Pour un amour immuable
Qui porte les traces d’un souvenir
Qui continue de faire souffrir
Le temps passe, les jours défilent
Combien d’année à vivre sur un fil
Et puis un jour par hasard ou envie
Au détour d’une gare, nous voilà réuni
Et des années plus tard
Collés dans notre canapé
Nous faisons des projets
En oubliant nos cauchemars
Rêves communs ou familiers
Bleu turquoise et plus foncé
Une penderie, même une maison
Où pourrait courir nos enfants
__ Un dernier texte, avant la fermeture, un texte pour lui, pour moi, pour nous… et pour que ceux, intelligents, comprennent enfin après des années à se leurrer, sur mon identité…__
((importation orangeblog))
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Angelnight 138
Je n’étais déjà plus beaucoup là, la fermeture ne va rien arrangé.
Je n’écris plus, ce n’est même une histoire de temps ou d’envie, c’est juste le besoin qui n’est plus là, pour le moment.
Je sauvegarderai ce blog si c’est possible, peut être renaitra t’il ailleurs, peut être pas…
Après tout à quoi bon…
Angelnight 137
Vendredi 01 mai 2009 |
_Offert par Kalen_ |