Semaine 1 – 13 au 17 février
Première entrée dans NOTRE maison et surprise l’ancien propriétaire avait laissé quelques petites choses ça et là… Tous les rideaux, les lustres, un frigo, des bouteilles à gaz, de vieux chauffages, des sacs poubelles plein, de bouteilles vides, des chaussures, de la laine, quelques outils, de vieux livres (même pas drôle des vieux SAS…). Sans parler des deux “dépendances” (en vrai des petits réduits de quelques mètres carrés) qu’il n’avait pas fini de vider. A nous les sacs de sciure, les vieilles étagères rongées, les chaises sur lesquelles on ne peut pas s’asseoir… Bref du bordel, il faut bien le dire…
Nous pensions d’abord faire venir une benne pour les travaux, mais la configuration des lieux ne le permettait pas (cela empêcher l’accès à certains voisins chez eux en voiture…) nous avons réalisé tous les aller-retour avec l’utilitaire acheté pour les travaux, un Scudo. Heureusement assez grand et résistant (pour le moment en tout cas!).
Et comme nous devions tout vider + casser tous les murs, plafonds, habillages… à chaque étage, nous avons commencé par le plus haut, le grenier.
Entièrement habillé en joli lambris bois, mais sans aucune isolation, nous avons tout enlevé sans regret, manquant mourir intoxiqué par la poussière, car le plancher n’étant pas très plat il avait été entièrement recouvert de :
1 couche de sciure de bois
2 couches de journaux
1 couche de cartons
2 couches de lino
Le tout entrecoupé de poussière, notamment celle des vieux murs en pierre qui s’effritent!
Le week end nous finissons le grenier et attaquons le dimanche sous un soleil radieux le deuxième étage, par la destruction des plafonds, en plâtre sur un trémie bois. Armé d’un casque, d’un masque à poussière et d’un manche balai (l’échelle est trop grande de quelques centimètres!) on tape, on tape, on tape (enfin surtout Lui).
J’en profite aussi pour faire visiter la maison à deux amis collègues de passage, qui se moquent outrageusement de notre tenue spéciale Tchernobyl ^^
Le Scudo est de nouveau rempli, mais cette fois ci de lourds sacs de gravats. La déchetterie n’étant ouverte qu’un jour sur deux, et avec des horaires très restreints, Gilga se charge de le vider en sortant du travail, le lendemain…
Argh ! Commencer par vider les choses laissées avant d’attaquer, quel plaisir :/
Purée, oui les masques ne sont pas accessoires ici. Dommage pour la benne, cela vous aurait considérablement aidé. Huhu, je me souviens qu’avec les gravats, on ne se rend jamais compte de leur poids quand on voit leur volume :D
Bravo pour le compte-rendu, ce n’est pas évident à tenir (entre trier les photos, écrire le topo et mettre en ligne… quand on est fatigué !)