Passionnée de littérature jeunesse, dévoreuse de livres, jeune maman !

Candidate 10 Darkangel

Candidate N°10 du concours d’écriture
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Mes rêves pour toi

Je te raconterais mes rêves, pour que tu t’en souviennes lorsque je serais partie au loin là bas, quelque part
où je pourrais toucher le soleil. Je te raconterais mes rêves pour que tu saches à quel point ma lumière rejoint la tienne et ne se moquait pas de toi. Je te raconterais mes rêves pour que tu ne
m’oublie pas. Entre ciel et terre se berçaient d’illusions mon coeur et ma raison, et j’ai souvent mis à terre un genou, j’ai souvent courbé le dos, j’ai tant de fois baissé la tête et imploré son
pardon, pour n’avoir pas été à la hauteur de ses ambitions, celles qu’il avait pour moi, celles qui aurait fait de moi, cet être qui aurait su aimer dans l’abandon de soi. J’ai appelé le ciel, de
ce qu’il a entendu et vu, je ne sais pas, mais je l’espère se furent les sanglots dans ma voix, le tremblement de mes lèvres, et mon âme sincère dans le désarroi. “Puisqu’il ne m’aime pas,
puisqu’il s’en va, puisque d’un “nous” ils ne veut pas, puisque ces rêves à lui sont partis vers d’autres foi, puisses-t-il les réaliser tous et même sans moi. Puisse le bonheur et l’amour inonder
sa vie, sa maison, son coeur. Pourvu qu’il fasse de son mieux pour être heureux, pour que mes rêves pour lui ne soient pas perdus quelque part dans le froid”. Et moi je te raconterais mes rêves,
pour que tu les emportes avec toi, dans cette autre vie qui ne me concerne pas, dans ton coeur, dans tes yeux, dans ta voix. Je te raconterais mes rêves pour que tu m’enveloppes de tes tendres
bras, que tu m’emmènes quelque part la bas, où nous pourrons toucher le soleil, toi et moi… Et je te raconterais mes rêves, mes rêves, mes rêves… toi, racontes moi les tiens, racontes moi… je
t’emmènerais sur mes ailes d’ange pas si sombre que ça, je t’emmènerais vers cette petite lumière, cette flamme d’amour, de passion et d’espoir qui brûle pour toi. Je te raconterais mes rêves, n’en
fais pas n’importe quoi, je te raconterais mes rêves, toi et moi… ***


Darkangel

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Candidate 9 Gourmandises

Candidate N°9 du concours d’écriture
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LA PETITE GOURMANDISE

il était une fois une petite gourmandise qui ne savait pas sur quel pied danser,tout était facile d’accès,elle avait que l’embarras du choix,un festin de roi,elle sautillait de plat en plat.
des petits toasts joliment décorés aux multiples couleurs verts roses noirs,des entrées en veux tu en voilà accompagnées de petites sauces variées.
des mets aux saveurs des plus exquises,en passant par les plateaux de fruits de mer,crevettes en bouquet,d’écrevisses s’entrelaçant avec araignées de mer,côte à côte d’huîtres bigorneaux
palourdes agrémentés d’une douce et légère  mayonnaise en mousseline.
de succulent poulets rôtis dans leur robe croustillante accompagnés de savoureux petits légumes en fagots parsemer d’une persillade.
elle entra en dansant dans l’exquis palais des fromages…
la petite gourmandise au milieu du silence entendit le pain chanter en une joyeuse symphonie.
et puis vint la farandoles des desserts: elle en avait plein les yeux c’était magique un vrai feu d’artifice! des gâteaux plus gros qu’une montagne,des îles flottantes plus vrais que nature,des
crêpes flambées au rhum.

la petite gourmandise en resta baba

c’était la cerise sur le gâteau!

Gourmandise

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Candidat 8 Gilgamesh

Candidat N°8 du concours d’écriture

Faut il s’accepter tel qu’on est ?
Faut il se faire tel qu’on se veut ?

Il y a sans doute un juste millieu quelque part entre ces deux solutions
 une quête passionnée mais juste, durant laquelle la construction de soi mène
 à l’espoir par-delà la souffrance d’un chemin presque toujours piégeux.
 Ce chemin-là gardera notre marque, d’une manière que
 nous ne pourrons pas soupçonner .
 
“Pendant un moment tu as marché avec moi, mais maintenant, alors que je me retourne, je m’apercois que tu m’as abandonné…”
Il ne reste plus qu’une trace de pas dans le sable…

“Non je ne t’ai pas abandonné ! Et s’il n’y a plus qu’une trace dans le sable, c’est parce que dans l’épreuve que tu traverses, je te porte sur mes épaules… “


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Candidat 7 Elliverolf

Candidat N°7 du concours d’écriture
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Chère Louise

    Au firmament brodé des étoiles
    J’ai regardé les feux qui luisent
    Dans quelque horizon dévoilé ,

    Comme un visage qui s’appuie
    Sur mon épaule nue et candide
    Légèreté d’ une caresse de nuit
    Sa peau d’un voile translucide ;

 Chére Louise
    Le matin né brodé des couleurs
    J’ai regardé les feux qui luisent
    Dans quelque horizon attristé ,

    J’ai senti sa douceur apaisante
    Comme ces parfums de l’aurore
    Quand dans un ciel d’amarante
    L’ombelle d’or fit la rose éclore ;

Chère Louise
    J’ai regardé vos yeux qui luisent
    De m’avoir rencontré une journée
    Dans quelque horizon d’obscurité ,

    J’ai perçu cette finesse des sens
    Lorsque ses s.eins nus d’albâtre
    Frôlèrent mon torse des encens
    Qui brûlent les chairs rosâtres ;

Chère Louise
    Dans ce reflet des jours à s’aimer
    J’ai regardé nos corps qui luisent
    Et miroitent dans quelque horizon ,
                        D’éternité
;

    Je n’oublierai jamais nos feux d’ébats
    Nos étreintes aux cris de ce parcours
    Ces mouvements folâtres des apsaras
    Qui conduisent au temple de l’amour ;

 Chère Louise
    Le jour où votre ciel sera ma pluie
    J’irai regarder les feux qui luisent
    Esseulé
    Dans quelque horizon oublié .