En hommage à Mario Ramos, qui nous a quitté le 16 décembre 2012, les participants aux Mercredis de l’album vous parlent tous de lui aujourd’hui… Je me joins à eux en quelques mots…
Mon ballon
Mario Ramos
Pastel, 2012
Le petit chaperon rouge vient de se voir offrir un ballon rouge! Toute fière elle traverse la forêt pour le montrer à grand-mère. Elle va croiser alors plusieurs animaux farfelus, avant de rencontrer… le loup bien sûr… mais comme toujours avec Mario Ramos le loup a le droit a une belle leçon d’humilité, et nous rions très fort.
Le petit chaperon rouge chante Promenons nous dans les bois, l’enfant qui a déjà lu quelques histoires de loup et de chaperon rouge s’attend donc vraiment à tomber sur le loup… mais impossible de deviner quel animal il s’agit à l’avance, et bien des animaux se succèdent avant le loup !
La mise en page un peu particulière, qui nous cache toujours le sol, permet d’avoir un coté très aérien à cette histoire, cela rajoute de l’effet de folie et de bonne humeur. J’ai particulièrement adoré les flamants roses !
Un très bel album pour les enfants dès 4 ans qui fera d’abord un peu peur… puis beaucoup rire!
Les petits plus :
son site : http://www.marioramos.be/
Un fabuleux cadeaux chez Azilis
C’est moi le plus fort chez SoManyBooks
Valentin la terreur et La peur du monstre chez Bouma
Au lit, petit monstre et Le loup qui voulait être un mouton chez Liyah
Ramos… Mon chouchou… Je ne me remets toujours pas de sa disparition ! :-(
Ah ! Mon auteur préféré d’album pour les petits. Quelle simplicité et quel humour il m’était dans ses livres. Merci Mr Ramos pour ces beaux albums.
J’adore aussi les histoires de Ramos. Je l’ai écouté en conférence et l’ai trouvé passionnant. Humour et simplicité pour le plus grand bonheur des petits (et du conteur).
Il mérite cet hommage, Bien vu!
je commande tout de suite ! mes enfants sont fans des réécritures du Chaperon rouge! Enconre un Ramos que je ne connais pas…
Il a l’air super, je prend note par ma petite cousine :)
Cela fait plaisir de voir que nous sommes nombreux à regretter Mario Ramos! Les auteurs jeunesse sont encore en marge. Nous venons de perdre un grand monsieur. Et si c’était Pennac, on en entendrait parler partout…