Conte indien
A partir de
La fille du Rajah
France Alessi & Marie Diaz (ill.)
bilbOquet (2005)
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La fille du Rajah, la princesse Sîtâ naquit un jour sans un pleur. Elle grandit et apprit à lire, à compter et à écrire avant même d’avoir 5 ans. Et cela, grâce à un homme très savant, maître Mashâ. A 6 ans, elle découvrit le chant, à 8, la poésie et à 10 ans elle connaissait toute l’histoire des Dieux.
C’était la plus heureuse des princesses de l’Inde.
La veille de ses 15 ans, son père décida qu’il était temps qu’elle prenne un époux. Et c’est là que l’histoire se gâte…
Car l’amour peut vite se transformer en jalousie !
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Le “mauvais” point est pour l’histoire. Elle est très “classique”. Le bien triomphe du mal, ça encore, ça ne me dérange pas, mais elle est surtout bien trop courte ! J’ai eu l’impression que l’on me faisait le résumé d’une histoire beaucoup plus longue… Certains passages passent vraiment trop vite.
Mention spéciale pour le père qui adore soi-disant sa fille : il préfère la perdre plutôt que de perdre ses biens ! Bref, on se calme, c’est une histoire !!
Dommage donc, car j’aurai bien aimé rester plongée plus longuement dans ces pages magnifiques. Les illustrations sont splendides et très colorées. Les couleurs sont vives et éclatantes (je dirais que c’est de la peinture), ce que ne montre pas la couverture. C’est vraiment très très beau !
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D’autres lectures, d’auteurs indiens ou qui se déroulent en Inde.
Un livre lu dans le cadre du RAT (Read-A-Thon ou marathon de lecture)
organisé par
Les participantes à ce week-end :
Bidib (Insta), Blandine, Jojo en Herbe (Insta), Hilde