La crevette – BD ♥

crevetteComédie romantique

La Crevette

Zidrou & Salomone

Le Lombard (2025)

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Nous sommes à Paris, en 1958. Un bel hiver, bien froid ! Mais la jolie dame qui nous raconte, à la première personne, cette histoire, n’a jamais froid, elle. Et pour cause : C’est Toinette, un mannequin de la vitrine du magasin “Divine de Paris, lingerie fine”.

Elle commence par nous présenter les personnages : Madame Ledoyen, responsable du magasin. Elle a des tas de maximes telles que “La lingerie fine, c’est le papier d’emballage de l’amour”. C’est joli, non ? Nous rencontrons ensuite Brigitte, la vendeuse et son amie Aline qui est secrétaire. Quelques autres viennent compléter le tableau. Et puis il y a Monsieur Séraphin. Lui, c’est le patron. Dans la vie, il y a deux choses qu’il ne supporte pas : le retard et les enfants… Ce jour là, comme par hasard, le camion qui devait apporter la nouvelle collection n’est pas arrivé. Et la femme de ménage a amené son fils de 5 ans au travail, sa mère ne pouvant pas le garder. Une bien mauvaise journée, car, jamais deux sans trois, le petit secret de Monsieur Séraphin va être éventé…

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Cette très jolie BD est une comédie romantique et une ode à la différence. Mais ce n’est pas du tout “gnan gnan” et ça parle même d’un sujet que je n’avais vu traité en BD. Je ne vous dit pas de quoi ça parle, je vous laisse le plaisir de la découverte.

C’est doux, c’est tendre et c’est drôle aussi ! Et j’ai adoré les magnifiques aquarelles de Paul Salomone. Moi qui souvent préfère les couleurs vives, ici, les couleurs pastels vont parfaitement avec le côté “rétro”.

Bref, je me suis régalée !
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Noukette l’a beaucoup aimé également (mais c’est une inconditionnelle de Zidrou et je la comprends !!)

Zidrou, nous vous l’avons déjà présenté ici (Lydie / Les beaux étés / Merci et quelques autres !) + Emma G. Wilford + La vieille dame qui n’avait jamais joué au tennis…+ Shi + Boule à zéro (jeunesse), L’obsolescence programmée de nos sentiments (AD) + L’adoption (1er dyptique) + L’adoption Wajdi (2ème dyptique)

Cette semaine, c’est Moka qui nous reçoit