Passionnée de littérature jeunesse, dévoreuse de livres, jeune maman !

Angelnight 89

   Cousine, soeur, amie, modèle, tu étais tant, tu étais tout. Qu’as tu fait que je ne reproduise, qu’as tu espéré que je n’epère pas? Un ami, un amant, un métier même, j’ai tout fait, tout copié, sans même m’en rendre compte, mais finalement aujourdhui où en es tu? Tu penses toujours à lui, à ces années de chagrin que tu transformes en bonheur, à ces années où tu l’aimais tant, où il se servait de toi, où tu aurais donné n’importe quoi. Tu regrettes cet enfant, tu regrettes ces instants, tu regrettes et pourtant tu as réussi, après 5ans de pleurs, de chagrins, de larmes si souvent, tu as réussi à t’éloigner, à partir si loin, et à compenser autrement. Ma douce je t’aime tant, mais nos chemins s’arrêtent là, tu ne sauras jamais, tout ce que j’ai pensé, tu ne sauras jamais, comme je t’ai copié à mes dépends, mais tout est fini aujourd’hui, parce que je l’ai lui, et pas toi.    Cousine, soeur, amie, modèle, tu étais tant, tu étais tout, tu trouveras, fais le pour moi!

_ pix : Elle _

Angelnight 90

Overdose d’écriture

 Ecrire jusqu’à ne plus penser, jusqu’à ne plus pleurer, ecrire sans savoir, sans vouloir, sans pouvoir faire autre chose, écrire comme d’autres crient, comme d’autres rient, écrire sans arrêt, sans point, pour ne pas tomber et continuer, écrire tant que tu n’es pas là, tant que je n’entend pas ta voix, écrire ici et là…

Angelnight 87 Changer

Rien ne change, c’est toujours les mêmes larmes dans mes yeux, chaque fois qu’il se rapproche de cette demoiselle. Quand il évite de me parler, quand il se fait absent et distant, quand il a le coeur qui bat, quand le mien s’arrête. Chaque fois que je devine, au simple son de sa voix, tout le mal qu’il dira sur moi, dès qu’il le pourra. J’aimerais l’entendre, le voir, pourtant je sais déjà. Rien ne change, ni ce que je ressent, ni cet ancien amant. Rien ne change, même pas moi.

_encore une de ses images inconnues, qui trainent sur les ordinateurs où je navigue_

Angelnight 88 Fuir

Je n’ai plus qu’une seule envie, une seule lubie. Fuir, partir, sans me retourner, sans chercher à comprendre, sans penser à demain, sans toujours me demander si tu seras là. Je n’ai plus qu’une seule envie, disparaitre de tes pensées, de ta mémoire et de ta vie, comme si je n’avais jamais existé, comme si je n’étais jamais né. Je n’ai qu’une seule envie, me laisser porter par le vent, oublier cet enfant, oublier ces moments, en oublier jusqu’aux étoiles même. Je n’ai qu’une seule envie, même si elle se décline et se conjugue, une seule envie, ne plus avoir d’envie, ni même de vie.