inspiré de François de Malherbe (Condoléances)
Mais elle était du monde où les plus belles choses
Ont le pire destin
Mais elle était en vie quand les autres sont loin
Pur hasard ou destin
Nuit après nuit elle se défendait là où les autres avaient abandonnés
Fidèle à leur destins
Jour après jour elle s’entrainait, guerrière d’un genre nouveau
Bien loin de son destin
Elle suait sang et eau pour ne pas y penser, les laisser la toucher
Quel bien triste destin
Et puis il est venu, et son coeur à flancher
Ironie du destin
Elle n’a su que l’aimer…
_parce que j’ai lu Malherbe, parce qu’il n’aimerait pas, mais que ces premiers mots résonnaient en moi, et avaient besoin d’une nouvelle vie_
_Photo : Kalen, Orangeblog, auteur inconnu_
