Passionnée de littérature jeunesse, dévoreuse de livres, jeune maman !

Angelnight 115

Quelques mots encore pour toi, rien que pour toi, comme si je les chuchotais tendrement a ton oreille… Quelques mots de motivavtion, pour que tu reprennes tes articles que j’aimais tant, Quelques mots d’excuses pour ce que je peux dire au creux de la nuit, quand je suis trop fatiguée pour pardonner… Juste quelques mots encore une fois, parce que je tiens à toi…

_écrit le 23 janvier 2008_

Angelnight 113

Lentement passe le temps, lentement, secondes après secondes, lentement s’egrennent les heures puis les années. Lentement la ritournelle se fanne, et les amours s’effacent… Lentement l’oiseau fait son nid, et l’homme le détruit.
L’amour n’est que chimère qui s’en va en dansant vers d’autres coeurs légers, et le souffle qu’il laisse sur ma peau, c’est ton odeur à jamais, ton sourire gravé, et tes mains qui me frolent toujours. Lentement tu es bien loin maintenant…

_Bon Anniversaire… puisque qu’il y a déjà 24 ans tu faisais mal à une première femme…_
_photo : lexode.com > ange_

 

 

 

 

(article 114 non transféré – parlant uniquement d’orangeblog)

Angelnight 112

Ce n’était qu’une simple bague en plastique
Un petit bout de plastique sans aucune importance
De ces objets qu’on jette sans même y penser
Qu’on oublie parfois derrière soit sans jamais regretter

Ce n’était qu’une simple bague en plastique
Mais pour moi c’était juste une preuve
Mais pour moi c’était tout notre amour
C’était nous deux réunis à jamais

Ce n’était qu’un simple bout de plastique
De ces objets qu’on trouve par terre
Et qu’on garde machinalement
Sans même penser que quelqu’un quelque part
Pleure sa bague disparue

C’était si peu de chose et tellement à la fois
Un objet de plus dans cette vie matérielle
Mais c’était un de ces petits riens
Qui rendent la vie plus belle
Et qui font qu’au matin,
On reprend notre chemin…

Angelnight 111

Les mots s’envolent avec le soleil, où bien est-ce mon sourire revenu qui chasse mes maux, et mes idées avec? Les mots s’envolent, ne s’écrivent plus, pensées fugaces, rarement plus; les mots s’envolent et toi tu restes; les mots s’envolent mais juste toi, ni plus ni moins, ça me suffit, ça me ravi… Ces éclats de soleil le matin, qui sonnent comme des éclats de rire, Ces brins d’herbe qui me chatouillent, Même le vent qui me fait frissonner, chaque détail me prouve encore que c’est toi, ni plus ni moins, mon amour…

_image : à partir d’une photo de cygnedetang_