Les aérochats, Comme chiens et chats

aérochatsLes aérochats

Comme chiens et chats

Donovan Bixley

Éd. Slalom (2017)

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Europe, 1916. La terrible meute des CLEBs avance sur Paris alors qu’une nouvelle dramatique tombe au QG des CATs : le major Tom, le plus célèbre pilote de tout le royaume des chats, a disparu en territoire ennemi.
Félix Belair, n’écoutant que son courage, se propose pour accomplir la mission la plus périlleuse de sa jeune carrière en allant chercher le malheureux major Tom, au risque de retomber nez à nez avec le Setter rouge, son ennemi juré.

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C’est le premier tome d’une nouvelle série d’action et d’aventure qui est très drôle. On reconnaitra quelques emprunts à Star Wars et James Bond avec Maître Yocha et ses gadgets et quelques autres aux films d’Indiana Jones (la queue de l’avion qui part en fumée, ça ne vous rappelle rien ?)

Bref, vous l’aurez compris, il y a là un mélange d’aventures historiques et d’humour. La guerre n’est ici qu’un prétexte. Il y a aussi un clin d’œil à Magritte dans une des illustrations, et je n’ai sûrement pas tout vu ! Un petit roman facile à lire et très agréable. Les illustrations en noir et blanc, très sympas, donne un côté “film d’action/aventure”.

Sur la page de l’éditeur, vous trouverez des infos sur l’auteur et pourrez feuilleter les premières pages.

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L’ enfant qui dessinait les chats – Conte japonais

EnfantL’enfant qui dessinait les chats

Un conte populaire japonais

Arthur A. Levine

Peintures de Frédéric Clément

Pastel – École des loisirs (1993)

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Kenji vivait avec sa mère et ses quatre frères. Ils travaillaient tous très dur dans les champs, mais pourtant, ils ne mangeaient jamais à leur faim. La mère, craignant que son plus jeune enfant ne puisse pas grandir correctement à cause du manque de nourriture, demanda aux prêtres de l’accepter parmi eux. Mais Kenji était un rêveur et un artiste. Un vieux prêtre, qui n’était déjà pas très favorable à son arrivée, le chassa. Après une longue route, Kenji trouva refuge dans un temple désert. Se sentant seul, il se mit à peindre ce qu’il préférait, des chats…

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Grâce à son don pour le dessin, inutile au monastère et qui ne le nourrit guère, Kenji va se sortir d’une étrange situation et gagner son statut “d’artiste”…

L’histoire est agréable

Ce jeune garçon trop faible pour travailler aux champs, trop rêveur pour être utile au monastère et qui ne veut pas retourner chez ma mère pour ne pas être une charge pour elle est attachant. Et le côté fantastique de l’histoire est légèrement effrayant.

J’ai également beaucoup aimé le papier, très épais et d’une couleur crème avec de légers filets orangés. A chaque double page, une illustration pleine page fait face au texte. Au dessus du texte, un idéogramme (qui cache un morceau de l’illustration suivante) et au dessous une petite frise (qui est aussi un morceau de l’image suivante).

Les illustrations, très belles, ressemblent aux estampes japonaises et le tout forme un livre très délicat.

enfant

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De l’illustrateur, Frédéric Clément, nous vous avons déjà présenté (brièvement il est vrai) : Le peintre et les cygnes sauvages (2ème album présenté)

Arthur A. Levine a dédié ce livre à son père.

Frédéric Clément à dédié ses illustrations à Hokusaï, dont je vous ai parlé il y a peu, avec “le vieux fou de dessin“.

Le site de l’illustrateur et son blog

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Un conte qui participe au mois du Japon avec Lou de My Lou Book et Hilde du Livroblog

Japon

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