T’choupi découvre…

Albums pour les petits, dès 2 ans 

T’choupi découvre les chiffres

Dans cet album T’choupi va découvrir les chiffres de 1 à 10. A chaque page T’choupi découvre donc un objet, chapeau, gâteau, coccinelle… dans un nombre précis. Mi imagier mi album à compter donc, avec de petites phrases pour accompagner chaque image mais qui ne forment pas tout à fait une histoire.

Une façon sympathique de découvrir les chiffres avec T’choupi.

T’choupi découvre les lettres

  Tout l’univers de T’choupi repris par ordre alphabétique pour découvrir les lettres. L’idée est sympathique mais c’est finalement avant tout un imagier pour les petits, qui permet de découvrir pas mal de chose autour de l’univers de l’enfant. Ce qui plaira surtout aux jeunes fans de T’choupi c’est qu’au milieu de cet imagier se cache les amis et la famille de T’choupi… Tout un univers connu donc pour introduire des mots de la vie courante et pour les plus grand commencer à assimiler l’alphabet et les lettres.

Pas d’histoire, des mots simples, un univers colorés mais très classique… à conseiller aux adeptes de T’choupi !

Deux albums cartonnés à la couverture molletonnée très agréable pour les petites mains, facile à manipuler !

 

Album cartonné – Courtin, Thierry -T’choupi découvre… – Nathan, janvier 2013 – 6,90€

 

* 2/30 Challenge Je lis aussi des albums

* Liyah nous présente ces deux titres aussi aujourd’hui, ainsi que deux autres de la collection :  T’choupi découvre les couleurs et T’choupi découvre les formes.

 

Splat s’amuse sous la pluie – Splat n’aime pas perdre

2 nouveaux albums de Splat en cette nouvelle année, voilà qui va faire des heureux. Bon malheureusement ce ne sont pas des vrais Scotton (mes explications dans le dernier article sur Splat) mais voici tout de même deux histoires sympathiques dans le ton de notre boule de poil!

Splat s’amuse sous la pluie

Dans Splat s’amuse sous la pluie, notre héros fait du roller… sauf que sous la pluie ce n’est vraiment pas terrible, alors il préfère rentrer chez lui… mais sans enlever les patins! Gags à répétition, colère de toute la famille, comment cela va-t-il finir ?

J’adore la couverture de ce tome qui nous montre Splat avec ses protections de roller, je le trouve absolument adorable ainsi. Et puis il y a sa petite copine la souris, avec son parapluie. C’est chou et si la couverture ne vous plait pas, pas la peine d’ouvrir l’album car elle donne bien le ton! Moi je craque complètement pour cette petite bouille et ses aventures me font beaucoup rire. Des répétitions pour faire participer les enfants, des illustrations qui permettent aisément de deviner l’histoire et une fin tout sourire. Je regrette tout de même qu’il ne s’amuse pas plus sous la pluie et que le ton du récit soit un peu trop “bébé”, alors que ce héros plait à des enfants qui commencent à lire seul.

Splat n’aime pas perdre

Dans Splat n’aime pas perdre ! on aborde le thème des jeux, et surtout des mauvais perdants. Un thème qui concerne beaucoup d’enfants. Et même des adultes. Même moi un peu parfois. Splat a invité Grouff et Plume à jouer chez lui. Ils jouent au chat et à la souris, à cache-cache… avec sa petite soeur. Et c’est toujours elle qui gagne! Splat fait alors la tête et joue tout seul dans son coin. Après un revirement ils font une dernière partie.

Ce tome m’a moins plu car on ne rentre pas du tout dans la psychologie du personnage et c’est uniquement de gagner finalement qui va rendre Splat heureux. A aucun moment les enfants verront l’intérêt avec cet album de ne pas être trop mauvais joueur. Splat fait la tête, on retourne vers lui, il choisi le jeu, il gagne… Et il est alors heureux ainsi que ses amis.

Bien que je ne sois pas fan des livres 100% didactique je trouve qu’un minimum de message aurait pu être inclu dans ce livre. Du coup à part la chute qui reste amusante ce livre tombe à plat. On préférera les autres titres!

 

D’après Rob Scotton, Nathan 2013, 5,95€

Une lecture commune avec ma copine Liyah !

Quelques albums de Splat chez les copines : SophieLJ, Kik, …

Star Wars l’encyclopédie absolue

Livre documentaire pour adolescents ou adultes

Star Wars l’encyclopédie absolue

de Ryder Windham

Nathan, 2012
réédition mise à jour et enrichie
9782092519622, 24,90€

Ce livre détaille toute l’histoire de Star Wars, la saga-culte de George Lucas qui débute au cinéma en 1977. Il retrace la chronologie du combat qui opposa le bien et le mal, il y a bien longtemps, dans une galerie très lointaine.

Le terme d’encyclopédie absolue est toujours difficile à évaluer, mais ce documentaire est tout de même très complet. Grand format, il comporte de nombreuses illustrations, dessin ou photographies, ce qui le rend très attractif, pour tous.

Après une présentation de l’histoire et de la galaxie avec moult détails sur les technologies, les personnages… La base des films est donc reprise de façon documentaire, détaillée, avec de nombreuses informations supplémentaires comme par exemple les coulisses du film : maquettes, équipe, dessins préparatoirs, trucages, décor… N’étant pas une grande fan des films, c’est cette partie qui m’a le plus intéressée car elle change de ce que l’on a pu voir dans les précédents livres sur star wars dont j’ai parlé comme Star Wars : les personnages.

Ce documentaire s’adresse plus particulièrement aux fans qui trouveront aussi des reproductions des différents produits dérivés, dont certains très rares.

Comme toujours avec mes élèves, Star Wars marche très fort, et malgré le poids de ce livre les élèves se battent* pour l’emprunter !

+ L’avis illustré de Liyah

* C’est imagé bien sûr, enfin presque…

♥ Nos étoiles contraires de John Green (Extraits)

Nos étoiles contraires de John Green sort le 21 février, vous lirez donc à ce moment là mon avis. Mais pour vous faire patienter voici un extrait du livre, et une extrait de mon avis!

Hazel Grace, 16 ans, est atteinte d’un cancer incurable. Dur comme thème. Je sais que beaucoup vont arrêter ici leur lecture. Parce qu’ils ne veulent pas de ce thème là dans les livres en plus. C’est aussi ce que j’ai pensé. Et puis j’ai lu quelques mots de l’auteur :

“Beaucoup de gens (y compris moi-même) n’aiment pas lire des livres tristes qui vont les faire pleurer. Ils s’imaginent, non sans raison, qu’il y a déjà suffisamment de tristesse et de pleurs dans la vie réelle. C’est pourquoi je dis à mes futurs lecteurs : “si vous n’aimez pas ce livre, vous pouvez me donner un coup dans l’estomac.”

Difficile alors de ne pas ouvrir ce livre, pour voir, juger, en savoir plus… et j’ai bien fait!

Des extraits de Nos étoiles contraires :

Incipit du livre :

“L’année où j’ai eu dix-sept ans, vers la fin de l’hiver, ma mère a décrété que je faisais une dépression. Tout ça parce que je ne sortais quasiment pas de la maison, que je traînais au lit à longueur de journée, que je relisais le même livre en boucle, que je sautais des repas et que je passais le plus clair de mon immense temps libre à penser à la mort.
Quoi qu’on lise sur le cancer (brochures, sites Internet ou autres), on trouvera toujours la dépression parmi les effets secondaires. Pourtant, la dépression n’est pas un effet secondaire du cancer. C’est mourir qui provoque la dépression (et le cancer, et à peu près tout, d’ailleurs). Mais ma mère, persuadée que je devais être soignée, a pris rendez-vous chez mon médecin, le docteur Jim, qui a confirmé que je nageais en pleine dépression, une dépression tétanisante et tout ce qu’il y a de plus clinique. Conclusion, il fallait modifier mon traitement et je devais m’inscrire à un groupe de soutien hebdomadaire.
Le groupe était formé d’une brochette de guignols plus ou moins mal en point dont la composition changeait régulièrement. Pourquoi changeait-elle ? Un effet secondaire de la mort.
Inutile de préciser que ces séances étaient déprimantes au possible.”
“La moyenne était d’un cadavre par phrase. J’ai dévoré le livre sans lever les yeux une seconde.”
“Il arrive qu’à la lecture de certains livres on soit pris d’un prosélytisme étrange, tout à coup persuadé que le monde ne pourra tourner rond que lorsque tous les êtres humains jusqu’au dernier auront lu le livre en question.”
“Tant qu’on ne l’allume pas, la cigarette ne tue pas, a-t-il déclaré. Et je n’en ai jamais allumé une seule de ma vie. C’est une sorte de métaphore. Tu glisses le truc qui tue entre tes lèvres, mais tu ne lui donnes pas le pouvoir de te tuer.”
“Je ne t’en voudrais pas, Hazel Grace. Ce serait un privilège d’avoir le cœur brisé par toi.”
“Je suis tombée amoureuse pendant qu’il lisait, comme on s’endort : d’abord doucement et puis tout d’un coup.”
et en anglais “I fell in love the way you fall asleep : slowy, then all at once.”
“Mes pensées sont des étoiles qui ne veulent pas former de constellation”

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