Passionnée de littérature jeunesse, dévoreuse de livres, jeune maman !

Angelnight 109

C’est plus fort que moi, il a fallu que je lise… Si tu ne laissais pas tout traîner aussi… Ce ne sont que quelques mots, des choses qui s’expliquent surement, mais que je n’ai même pas envie d’essayer de comprendre aujourd’hui… Je croyais que c’était le blog qui me donnait cette impression, que tout changerait aussi. Rien ne change, j’ai été bien naive de le croire… Je pourrais me venger, faire pareil, et même pire, je pourrais te jeter, t’oublier, et même pire… Mais voila, même pour ça je n’ai plus la force, je crois que de toute façon, tu pourrais même les rencontrer, que ça ne me ferait plus rien… j’ai comme l’impression d’être morte, et je n’ai plus envie de vivre… Mens leur tant que tu veux, mais sois au moins honnête avec moi…

Angelnight 108

C’est…
Comme un sanglot long auquel les violons ne peuvent rien changer,
Comme un voyage au bout du monde, sans escale ni port
Comme un chat sur un coeur amoureux
Comme un gros meuble à tiroir encombré de bilans
Comme une lettre reçue par erreur
Comme si j’étais né en 17
Comme la petite vague qui avait le mal de mer
Comme allumer le feu
Comme un trou de verdure où chante une rivière
Comme un trop de chose qui m’emcombre et me pèse, sans liens mais tellement emprunts de références, que je finis par croire que ce n’est plus moi qui pense….

 

Angelnight 107

La tête dans les étoiles (Brouillon, finalement laissé tel quel… Je ne sais pas reprendre… Réécrire) -Mes textes

J’aimerai tellement, être la tête dans les étoiles, en train d’imaginer comment il sera, j’aimerai tellement sentir le vent et ne pas me dire qu’il t’emmènera, j’aimerai tellement de choses, que parfois, je me perds… Je n’aurai pas dû t’entrainer dans ma chute, il était l’ange qui veillait sur moi, je n’ai plus besoin de ça, puisque tu es là… Ce n’est pas une question de persuasion, de compassion, ou de solitude, ce n’est pas juste pour moi que je dis tout ça… Je t’aime tant que tu peux bien essayer… Je t’aime tant que mes sourires sont tiens pour toujours, même si tu reçois si souvent mes pleurs sur ton épaule. Je ne suis pas parfaite, d’aucuns diront que je veux ce que je n’ai pas … Ce n’est même pas ça, je te veux, toi, sans me rendre compte que je te perds à laisser transparaitre chacun de mes sentiments… Tant d’autre l’aurait pensé, personne ne l’aurait dit… Tu ne comprendras peut-être pas, que mon amour et dans chacun de mes gestes vers toi, même quand ces gestes te font souffrir… Je suis désolée mon amour, j’aimerais tellement te prendre dans mes bras, te dire que tout cela n’est qu’un vieux souvenir, mais je sens que dans ta tête tout ça résonne encore, des pleurs que je n’ai su cacher, des pleurs que je ne regrette pas, mais que je ne comprends plus…