A partir de 12 ans (éditeur)
NOS ÂMES OUBLIÉES
Grégory Panaccione
D’après le livre de Stéphane ALLIX
Le Lombard (2024)
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Éditeur : Inspiré du livre éponyme autobiographique de Stéphane Allix, Grégory Panaccione nous plonge dans la vie d’un homme qui n’a aucun souvenir de son enfance. Quand se développe une maladie auto-immune, il se rend vite compte que la médecine classique ne peut rien pour lui et il se tourne vers les neurosciences, libérant peu à peu son esprit jusqu’à une découverte fatidique : un événement de son enfance ayant entraîné une amnésie traumatique. La confrontation avec son agresseur et la remise en question de ses propres souvenirs l’amènent à un voyage intérieur poignant en quête de l’apaisement émotionnel, offrant une leçon sur la résilience et la reconstruction de soi après des traumatismes profonds.
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Je ne connaissais pas l’histoire de Stéphane Allix avant de commencer ma lecture. Et cette magnifique couverture aux muances de rose et bleu me paraissait pleine de douceur, voir de magie…
En fait, il n’en est rien et je suis vite redescendue de mon petit nuage ! Pendant que j’y pense, l’éditeur propose cet album à partir de 12 ans. Moi, vu le(s) thème(s) abordé(s), je dirai plutôt 15/16 ans. De toute façon, je ne suis pas sûre que ça intéresse un enfant de 12 ans. Ça me paraît un peu complexe à certains moments et un peu trop dur à d’autres.
J’avoue que je ne sais pas trop que penser de ce récit… Je ne crois pas à la vie après la mort, ni aux médiums ou encore à certaines médecines parallèles. Mais l’histoire de cet homme est intéressante et intrigante. Terrible aussi. Comme tous les traumatismes de l’enfance qui empêchent les gens de vivre normalement à l’âge adulte.
Âmes sensibles s’abstenir, certaines pages sont vraiment dures ! Mais on comprend bien le cheminement de cet homme, même si certaines expériences me laissent un peu perplexes.
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Le blog de Grégory Panaccione
De cet auteur, j’ai adoré : Un océan d’amour (scénario de Lupano) et Quelqu’un à qui parler (adaptation de roman)
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Cette semaine nous sommes chez Noukette